bien dans le parc mike et fesseaclaques vous allez recevoir 30 coups de badine en osier, 20 claques sur les cuisses et 15 passage d'une brassée d'orties !!!!!! en principe melle vera aidera à cela, pensez à ramasser du plantain comme antidote !!!!!!!!!!!! il y en a partout dans le parc !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Bon, j'arrive et Mike aussi.

Vous n'allez tout de même pas nous faire brouter le plantain?

Fessesaclaques pas de commentaires stupides, si vous ne trouvez pas de plantain ben ça piquera plus long temps !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et me voilà dans le parc rejoint par mon copain Fessaclaques qui ne me parait pas au meilleur de sa forme. Il y aurait déjà eu un préambule avec Melle Vera que ça ne m'étonnerait pas... Monsieur Ours nous attend de pied ferme et nous annonce que Melle Vera va nous rejoindre.

- Tout nu vous deux ! nous ordonne-t-il

Je regarde Fessaclaques interrogatif.

- C'est à nous qu'il s'adresse ? Que je lui demande.

- Ben je crois que oui. Me répond mon copain avec un brin d'ironie.

- C'est la fête de la musique aujourd'hui et je crois qu'ils ont l'intention de nous faire chanter un air d'opéra. Que je poursuis !

- Opéra bouffe ou de quatre saouls ! Ricane Fessaclaques.

- Peut-être l'osso buco de Verdi. Que je renchéris !

- Ou bien Talanausée de Wagner. Ajoute Fessaclaques.

Monsieur Ours commence à perdre son sang froid, il tape rageusement ses galoches sur le sol.

À ce moment-là, Melle Vera arrive ce qui coupe court à nos jeux de mots. Je dois reconnaitre qu'elle me trouble et d'ailleurs elle a un effet identique sur mon copain.

- Ils ne sont pas encore déshabillés ? S'étonne-t-elle en saisissant la badine que lui tend Monsieur Ours ?

- Non et en plus ils se payent ma tronche. Mais s'ils n'obtempèrent pas rapidement ils vont avoir double ration de badine ! S'énerve Monsieur Ours.

En général, ce genre de menace n'est pas à prendre à la légère alors je commence par ôter mon polo puis j'hésite franchement pour la jupe. Je regarde Fessaclaques ; comme moi il a enlevé son polo et tergiverse à baisser son short. Il fixe Melle Vera avec des rougeurs sur les joues. Je comprend alors qu'il a le même problème que moi.

- Alors ! Hurle Ours en faisant siffler la badine.

De son côté Melle Véra assouplit la sienne et nous fixe d'un regard sombre.

Que faire ? Me mettre nu devant Melle Vera me provoque des réactions incontrôlables. Depuis qu'elle est arrivée à Lafleurodant, cette femme me fascine, m'envoute... Je me demande si je ne suis pas amoureux. Bordel, moi Mike, amoureux d'une prof... Non, ce doit être autre chose, mais en attendant l'effet est bien réel.

- À trois si vous n'êtes pas nus on vous flanque une triple correction que vous n'êtes pas prêt d'oublier ! Colère Monsieur Ours approuvé par Melle Vera.

En un même mouvement, je dégrafe ma jupe et Fessaclaque fait glisser son short à ses chevilles. Je suis très mal et mon copain également.

Melle Vera et Ours ouvrent de grands yeux effarés.

- Mais qu'est-ce que c'est que ça nous questionnent-ils en choeur en montrant le devant de notre slip.

- Ben.... À vrai dire je ne sais pas trop ce qui se passe, mais... enfin... Je.... Peut-être les épinards de la cantine ou... Ben... Que je bafouille confus et le rouge au front.

Fessaclaque n'a pas vraiment de meilleure explication que moi pour se justifier.

- Les punitions vous font cet effet-là ? Très bien, on va donc tout faire pour vous satisfaire ! Maintenant enlevez vos slips et que ça saute ! Nous engueule Melle Vera qui ne semble pas du tout apprécier la chose.

Je dois reconnaitre qu'une fois nue, ma superbe avait pris un coup de mou. Faut dire que vu leurs regards furieux et le flexible osier qui allaient et venaient rageusement en tranchant l'air de ce tiède après-midi de juin, il y avait de quoi refroidir n'importe quel étalon.

Badine en mains, Monsieur Ours m'a attrapé sous le bras et Melle Vera en a fait de même avec Fessaclaques.
30 coups qu'ils avaient dit. Houlalalalalala ! Monsieur Ours y a été de bon coeur et les 30 coups donnés, hoooolalalalalalala, l'ont été avec une sévérité bien dosée. J'avais l'impression que chaque cinglée m'arrachait un lambeau de chair. Je hurlais à m'en faire exploser les cordes vocales et je suis bien certain qu'on devait m'entendre à 10 kilomètres à la ronde.

Bien entendu, toutes les Chipies ont accouru, non pour nous prêter assistance, mais pour jouir du spectacle. C'est très dur d'être une vedette, mais foi de Mike, elles n'auront droit à aucun autographe.
Je ne leur en veux pas, c'est un peu normal qu'elles se précipitent assister à nos tourments.... Fessaclaques et moi nous ne nous privons pas de prendre des chaises au premier rang quand une chipie se fait rosser. C'est de bonne guerre.

Mais cette fois, je crois que c'est une première, nous n'avons jamais été entièrement nus devant elles alors j'en connais qui doivent se régaler. C'est certain qu'elles doivent être émerveillées par notre anatomie de male très très bien pourvu matériellement parlant.
Mais bon, pour le moment je morfle grave et c'est bien la seule sensation que j'ai.
L'osier mord terriblement et je ne peux compter le nombre qui lacère la belle peau veloutée de mon fessier.

À côté, mon copain Fessaclaque semblait subir le même sort avec une identique sévérité.
Les 30 coups consommés, Monsieur ours desserre son étreinte et je m'écroule dans la pelouse en me tortillant de douleur dans tous les sens. J'ai les fesses qui reviennent d'un stage en enfer.

- Alors, mon gaillard, tu fais moins le malin ? Me dit Ours.

Je ne peux même pas répondre, mes uniques forces restantes sont pour mes pleurs et mon pauvre copain est dans un état de souffrance similaire. Je vois entre mes larmes, l'image brouillée de ses fesses striées et carminées.

- Vous allez vite apprendre à vous comporter correctement devant vos professeurs. Nous crie Melle Vera pas contente du tout.

Monsieur Ours me retourne sur le ventre, s'assoit sur mon dos et de sa grosse main me colle à toute volée 20 claques sur les cuisses. Je supplie et implore, mais rien ne l'arrête jusqu'au décompte exact.
Oooooh Bordel de bordel ! J'ai mal du bas de mes cuisses au bas de mes reins et quand je dis « mal » le mot est faible.

- Relevez-vous tous les deux ! Ordonne Melle Vera.

Tant bien que mal, je me remets sur mes jambes flageolantes. À ma gauche, Fessaclaque titube et sa grimace en dit long sur ses douleurs.

Je n'ai plus honte de rien, je sanglote en n'osant poser mes mains sur mes fesses ou cuisses tellement ça me lance. J'entends les Chipies rigoler.

- Maintenant, vous allez chacun nous cueillir une brassée d'orties. Nous commande Monsieur Ours en enfilant des gants.

Je me jette à ses pieds en pleurs.

- Monsieur Ours ! Monsieur Ours s'il-vous-plait pitié ! Que je le supplie.

- Je vous aurais peut-être épargné les orties si vous n'aviez pas eu une attitude grotesque et inqualifiable devant Melle Vera et si avant qu'elle arrive vous ne m'aviez pas pris pour un citron, mais là... Tant pis pour vous !

- PITIEEEEEE ! Que je hurle en sanglot.

- Dépêchez-vous d'aller cueillir des orties sinon on vous remet 30 coups de badine. Intervient Melle Vera.

Affligés par ce peu de miséricorde, la tête basse et accompagnés par les rires des Chipies, Fessaclaques et moi allons couper une brassée de ces affreuses plantes urticantes.

Horrible ! Inhumain ! Atroce ! Pervers ! Affreux et j'en passe... Sans aucune complaisance, Monsieur Ours a frictionné mes chairs meurtries de 15 allers-retours avec les orties. Je ressentais comme des millions de fourmis qui me grignotaient les fesses et lorsqu'il jeta le bouquet froissé dans l'herbe, je savais déjà que leurs morsures allaient encore durer un bon moment avant d'être repus.

Je me serais bien blottie dans ses bras contre son doux pull-over pour qu'il me console comme me l'avait conseillé Ellie mais je doute que ce soit vraiment efficace et qu'il apprécie à sa juste valeur cette marque d'affection.

À la promesse que la punition nous avait été profitable et nous éviterait toute récidive d'incorrection et d'indiscipline, je ne répondais qu'en langage haché noyé de pleurs.

J'ai rejoint Mike tout penaud et le joufflu incandescent.
Faut dire que juste avant Mademoiselle Véra m'avait gratifié d'une magistrale fessée déculottée otk à mains nues.
Et ce devant tout le parterre très émoustillé de nos petites camarades les chipies.
Pas une n'était en reste pour encourager Mademoisele Véra de Dorine en passant par Mirabelle, Ellie, Chipinette et la discrète Agathe.

Mademoiselle Véra m'a tout d'abord copieusement grondé, traité de tous les noms d'oiseaux et d'encore d'Aure, bien moins courant. (Boris Vian)
Et, devant le public ébahi m'a défait les boutons de la braguette de mon short, m'a baissé ce dernier, et après s'être assise sur une chaise, m'a basculé en travers des ses cuisses, a fini de me déculotter et m'a infligé une fessée maison, directement sortie de ses ateliers. C'est une virtuose de la fessée et très vite mon joufflu est passé du blanc au rose puis par toutes les nuances du rouge.
J'avais le popotin en feu t les claques de Mademoiselle Véra devaient s'entendre très loin.
Je ne sais pas vraiment combien de claques elle m'a donné, mais je vous garantis que l'expresso (un certain nombre) prend ici tout son sens.
J’avais les marques de ses mains et de ses doigts imprimées sur mon cul.
Elle continuait à me gronder tout en me fessant.
Elle m'a relâché tout pantelant et le joufflu offert aux regards concupiscents de tous les spectateurs.

Et dire que cela n'était que le hors-d'oeuvre.

J'entamais dans la foulée la marche au supplice après m'être reculotté rouge de honte. Et accompagné de mon pote Mike.
Nous plaisantions, nous bravions, mais le coeur n'y était pas vraiment.

Arrivés tous es 2 dans le parc où les mêmes spectateurs et mateuses attendaient la suite avec une visible impatience, Monsieur Ours nous attendait, très vite rejoint par Mademoiselle Véra encore furax et qui voulait poursuivre son ouvre rédemptrice d'une manière encore plus piquante.
Il y en a vraiment qui ne badinent pas avec l'humour et la provocation.
Comme mon pote Mike le devant de mon short laissait entrevoir une bosse qui dans mon cas était la résultante du traitement à mon séant infligé juste avant par les mains de Mademoiselle Véra dont, je dois le reconnaitre, je suis un tantinet amoureux.
Tout comme mon pote Mike.
C'est surprenant, mais c'est comme ça.
Comme Mikounet j'ai invoqué la difficile digestion des épinards servis ce dernier midi pour expliquer la couleur verdâtre qui ornait nos entrejambes respectifs.
Quand Mike qui s'était entièrement dépoilé sous les ordures de Monsieur Ours a été saisi sous les bras de ce dernier pour y subir un badinage dernier cri, j'ai eu droit au même traitement par Mademoisele Véra qui n'avait pas encore éclusé tout son saoul d'irrépressible envie de sévir.
Nous avons donné tous les 2 à l'auguste assemblée un concert de gémissements et de lamentations, qui, loin de les attendrir, a décuplé leur impitoyable vengeance.

Après la redoutable badine, ils ont poussé le vice jusqu'à nous faire cueillir nous même la brassée d'orties avec laquelle ils nous ont infligé une terrifiante, atroce et inhumaine série de cinglées.

Quand Ellie parle de l'urticante punition, je ne lui souhaite pas de la subir, pas même à mon pire ennemi.

Et dire que cela se pratique dans notre institution et fait le régal de nos enseignants, directeur ainsi que des chipies, je n'arrive pas à le croire.

Pauvre France où vas-tu ?

Il m'arrive parfois rétrospectivement de rêver que fait subir le même soit
à celles et ceux qui ont ravagé nos arrières trains de si humiliante et barbare manière.

Ils se sont réjouis de nos pleurs, de notre danse de Saint Guy et ont photographié sans la moindre gêne nos popotins qui n'avaient plus de fesses que le nom.

Qu'ils en soient maudits et voués aux gémonies.

Très bien fessesàclaques. Je lève la punition te concernant. Tu peux aller te rafraîchir un peu avant le cours de mathématique.

Merci Mademoiselle Véra.

Bien les jeunes, pas trouver de plantain vous vous moquez des remèdes de "vieux" ben dansez long temps avec ma bénédiction en accord avec mlle Vera je lève cette punition en espérant qu'elle vous aura marqué et pas uniquement physiquement mais dans votre cervelle d'oiseau

Merci Snif !

Oui, des oiseaux qui se font du "mourron"!

Elle est pas bonne celle-là?

Alors "Mourron" en choeur !

Pfffffffffffffffff !!! les jeux de mollets !!!!!!!!!!!!! feriez mizux de suivre vos cours et d'y déployer votre cervelle !!!!!!!!!!! jeux de motards !!!!!!!!!!!!

Mieux motard que jamais.

Vieux motard que jamais!

Monsieur Ours nous demande d'aller suivre les cours mais il n'y en a pas... Les classes sont fermées.

L'organisation de Lafleurodent laisse à désirer.

Evidement, des élèves laissés sans occupation font des bêtises. En fait, c'est de leur faute aux profs, c'est eux qui devraient être punis.

Il y a comme de l'injustice dans cet établissement !

Ainsi donc vous vulez des occupations, je vais voir les collègues et ils vont en trover des choses pour vous occuper croyez moi sutout vos deux je vais vous prendre en stage dans le paec et le verger !!!!!!!!!!!!!!! il y aura de quoi vous occuper

Des cours de math et de français en plein air, en voilà une bonne idée !

Apparement, Monsieur Ours veut nous transformer en parfaits jardiniers.
Serions nous si Candides que ça?

Ouais des jardiniers gratos et dociles.... Comme ça pendant que nous faisons son boulot il se la coule douce.

Je ne savais pas que l'institut Lafleurodent était une école d'horticulture ?

Moi je voulais être ingénieur gastronome spécialisé dans la religieuse au chocolat.

Je pense comme toi.

La religiuse que soit ce soit au chocolat ou au café j'aime bien.

Et puis,les desserts à l'istitution, c'est plutôt rare.

Quad on passe tout le budget de en instruments de punition, les douceurs ne sont ni au menu, ni à la carte.

Bien mike à défaut de devenir ingénieur gastronome vous pourez de venir ingénieur agronome et fessesaclaques suivra votre chemin pour les douceurs faut pas exagérer avec ce que vous avez "piqué" il y en a aussi que pour les enfants sages pas pour des chenapants

Imagine mon copain Fessaclaques. Menu de ce soir à Lafleurodent.

Une douzaine d'escargots ou médaillon foie gras de canard mi-cuit et toast grillés.

agneau de pré salé à la broche avec poêlée de ceps ou filet de bar en papillotes.

Salade frisée avec gesier confits et sauce aux airelles et huile de pepin de raisin.

Plateau de fromage de montagne.

Omelette norvégienne.

En Boisson : Coteau du Layon - Gevrey Chambertin 1995 - Lalande Pomerol 2001 - Champagne Veuve Cliquot Ponsardin premier cru 1988.

Et pour finir un petit café du Guatémala avec un doigt de vieil Armagnac 1968.


Mais non je déconne, tu as raison, ils craquent tout le budget en instruments de torture.... Ce soir c'est, carrotes rapées, jambon riz à l'eau et petits suisses avec carafe d'eau du robinet.

Dis donc,

Pour tel menu, je signe tout de suite des 4 mains!

idem pour moi, mais pour le 1er menu, pas le 2ème!! il n'y a même pas de beurre salé!!!

Parait que la gourmandise est un vilain défaut... Pas pour ce qui est de la gastronomie en tout cas !

Mais pour ce qui est des punitions, j'en connais qui se gavent sur nos fesses et j'espère qu'ils en attraperont une méchante crise de foie.